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Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Salle André-Mathieu
Laval, Canada
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.
Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.
« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »
Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
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Jesse Mac Cormack
Place Émilie-Gamelin
Montréal, Canada
Tout n’apparaît pas instantanément. L’incroyable premier album de Jesse Mac Cormack, Now, a pris sont temps pour nous arriver. Il s’agit d’une œuvre d’art-rock passionnée et kaléidoscopique qui agit à la fois comme une fabuleuse introduction et comme la culmination de cinq ans d’évolution méticuleuse.
Avec ses trois EP, Music for the Soul (2014), Crush (2015) et After the Glow (2016), le musicien montréalais a reçu des éloges alors qu’il peaufinait sa vision et perfectionnait son style d’écriture somptueux et imperturbable.
Alors que ses premières chansons s’inspiraient fortement du folk et du roots-rock (Les Inrocks l’ont décrit comme le nouveau héros de la folk moderne), celles que l’on retrouve sur Now sont prismatiques et prospectives, rappelant la pop aventureuse de Tame Impala, Talk Talk et Perfume Genius.
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Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Salle Odyssée
Gatineau, Canada
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.
Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.
« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »
Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
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Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Palace de granby
Granby, Canada
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s’est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s’est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu’à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l’univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d’Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l’étiquette Secret City Records.
Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur. Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d’un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues.
L’expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle, mais s’encre également dans une recherche de sens pour l’artiste.
janvier
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Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Théâtre des deux Rives
Saint-jean-sur-richelieu, Canada
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.
Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.
« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »
Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »