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C’est avec le sentiment de faire le pont entre la joie dégagée par l’album Parc Avenue (2008) et le côté plus sombre de La La Land (2010) que Warren C. Spicer, Nic Basque et Matthew Woodman Woodley sont heureux de présenter leur nouvel album, The End of That.
Automne.
« Il est temps d’écrire un nouvel album », se sont-ils dit. « Comment allons-nous procéder? Différemment. Cette fois-ci, écrivons un tas de chansons et travaillons-les avant d’entrer en studio – changeons la routine d’écrire lorsque nous sommes déjà en enregistrement; évitons ce sentiment d’urgence. Écrivons en huis-clos, sans compter les heures et en prenant notre temps… Comme les gens normaux. » « Je réserve le Treatment Room alors » dit Nic.
Hiver.
Ils travaillent les après-midis. Le Treatment Room est un studio à Montréal où ils ont enregistré Parc Avenue, ainsi que la majorité de La La Land. Les murs sont bruns et blancs, il fait plutôt sombre à l’intérieur. Dehors, il fait plutôt sombre aussi. La ville est brune et blanche, couverte de glace. Ils placent quelques micros et enregistrent sur un ordinateur portable. Warren, qui vient de passer du temps dans un appartement avec un piano, déborde d’idées. Il faut croire que c’est parfois l’outil de choix. Il alterne ainsi entre le piano et la guitare acoustique, qui était d’ailleurs moins présente sur le dernier opus. Elle est soudainement pleine de vie.
Ils jouent. Warren est géométrie, émotions et chair. Nic est celui qui ajoute les couleurs. À la guitare, il est l’équivalent de prendre un magnifique veston bleu et le tourner à l’envers pour porter la doublure rose néon, un peu à la Fresh Prince of Bel Air. Il a tout un tas de pédales poussiéreuses et un petit ampli, le Kalamazoo qui chante comme une cicada. Woodman, quant à lui, tape sur sa batterie – bam bam – telle une pieuvre, ting ting – telle une araignée à longues pattes. À la recherche de quelque chose de différent, ils s’arrêteront sur une simplicité musicale bien volontaire.
Printemps.
Ils prennent un temps d’arrêt du démo. Nic partage la pile de chansons crues aux autres membres du groupe. Warren retourne chez lui et bouche les trous des textes. Ils sont forts, singuliers et ils se tiennent debout. Sa voix, quant à elle, est beaucoup plus profonde qu’auparavant, elle provient de son torse et elle résonne dans sa gorge en s’imposant, comme si elle avait muri avec le temps. Il n’a jamais chanté de cette façon. Le soleil est sorti et Warren écrit alors quelques pièces plus lumineuses que le groupe va essayer en studio, exactement ce qu’ils s’étaient promis de ne pas faire. Mais qui n’aime pas le soleil ?
Le studio est celui de La Frette, à Paris. Ils y ont goûté un peu auparavant. La Frette est un grand manoir d’une certaine époque avec une console vintage qui donne le sentiment d’être le capitaine d’un énorme bateau. Ils dorment là bas. Mangent et jouent aussi là bas. Ils se plaisent à déguster du fromage et à boire du vin. Les oiseaux roucoulent à l’extérieur du matin au soir. Ils se sont installés dans le salon, la bibliothèque, la cave à vin ainsi que dans la pièce du piano au sous-sol.
Les deux semaines sont enchanteresses, les oiseaux chantent le printemps qui s’éveille. Non, pas tout a fait. Woodman n’a pas fait ses devoirs. Warren est très nerveux. Le studio peut être un serviteur qui ne pardonne pas. Ils ont la chance d’avoir avec eux un ingénieur de son exceptionnel, Lionel Darenne, qui vient tout juste de terminer l’enregistrement de l’album Metals de Feist, sur la côte de la Californie. Autour du cinquième jour, la magie commence à opérer. Quelque part vers le dixième jour, un voisin se plaint que c’est dimanche, et qu’il ne désire pas avoir « le rock’n’roll » dans sa cours pendant qu’il reçoit sa famille à souper. Ils prennent alors une journée de congé forcé, prolongent leurs billets d’avion pour enlever la pression et finissent l’enregistrement en douceur. Ça semble si simple. Ce fût épique. And that was the End of That.
Été.
Le mix, le mix, le mix. Est-ce si important ? Vraiment plus intéressant : La basse. « Commençons à jouer avec un bassiste en spectacle » s’est dit le groupe à l’unisson.
Automne.
« Nous adorons la basse » crie à l’unisson le groupe et le public. « Elle colle tout ensemble et rends les pièces multidimensionnelles, gigantesques, dynamiques et sexy. »
Hiver.
The End of That sera disponible en magasin le 28 février prochain.
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C’est avec le sentiment de faire le pont entre la joie dégagée par l’album Parc Avenue (2008) et le côté plus sombre de La La Land (2010) que Warren C. Spicer, Nic Basque et Matthew Woodman Woodley sont heureux de présenter leur nouvel album, The End of That.
Le trio montréalais a pris une toute nouvelle direction pour l’enregistrement du dernier opus. En effet, plutôt que de se lancer dans le concept étourdissant de composer les pièces en studio, Plants and Animals a cette fois-ci pris le pari d’écrire et de développer plusieurs chansons avant de s’assoir devant la console et de déclencher le compteur. Bien que la préparation ait été plus longue et réfléchie, l’enregistrement et le mixage de l’album <i>The End of That</i>, par contre, se sont faits plus rapidement que jamais auparavant. (Sans compter with/avec EP qui les a fait découvrir en 2007). Leur lot de chansons brutes sous le bras, le groupe est retourné au Studio La Frette, un peu en bordure de Paris, et avec l’aide de l’ingénieur du son Lionel Darenne (Feist), Plants and Animals a finalisé sa session en deux semaines. Le résultat est simple; The End of That est probablement l’album le plus cru et viscéral que le groupe n’ait jamais enregistré.
Ce qui le rend d’autant plus intime. Bien que les riffs de guitare électrique ne manquent pas aux rendez-vous – comme on peut facilement le constater sur le premier extrait, Lightshow – l’album présente aussi le chanteur Warren C. Spicer au piano, mais surtout à la guitare acoustique. Cette signature du groupe qui était moins présente sur leur dernier album revient en force sur <i>The End of That</i>. Les fans des débuts acoustiques de Plants and Animals seront ravis d’entendre ses nouvelles mélodies tandis que les amoureux du vagabondage multisonore de la formation seront quant à eux loin d’être déçus, puisque les faces A et B de l’album commencent et se terminent par chacun de ses deux genres.
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