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D’abord imaginé à l’été 2009 par l’artiste multidisciplinaire torontois John O, Diamond Rings s’est fait connaître sur la scène musicale grâce à une série de chansons et de vidéoclips où se côtoient effets spéciaux sur écran vert, chorégraphies exubérantes et costumes et maquillages d’une androgynie audacieuse. Ces vidéoclips ont fait l’unanimité de la critique internationale tant dans les médias en ligne que de la part des fashionistas. Les simples 7″ vinyl, tirés en édition limitée, ont quant à eux été épuisés en quelques semaines à peine, recevant même la mention Best New Music de Pitchfork.
D’aucuns ont qualifié Diamond Rings de fantaisiste, mais les amateurs de musique ont immédiatement adopté la pop lyrique de Diamond Rings et ses splendides prestations. Il est particulièrement rare de voir un jeune homme de 24 ans faire preuve d’émotions sincères et d’une honnête vulnérabilité, mais ça l’est encore plus lorsque le jeune homme en question agence son fard à paupières à ses chaussures Air Force Ones tout en dansant sur scène avec l’abandon d’un adolescent devant le miroir de sa salle de bain. Qui plus est, malgré la splendide de John O, on devine une maturité bouillonnante à travers sa voix unique et ses paroles d’une rare intelligence.
Diamond Rings a finalement réussi à s’immobiliser assez longtemps pour enregistrer un album complet dont le résultat est le très attendu Special Affections. Fidèle à son habitude de ne pas aller dans la direction où on pourrait s’attendre qu’il aille, cet album touche à une vaste gamme de genres et de sonorités. Des pièces éthérées y côtoient des rocks agressifs pour ensuite laisser place à des brulots de discothèques aux synthés galopants tandis que le fil conducteur de cet éclectisme sont les sentiments sincères d’un jeune artiste dont l’intérêt va bien au-delà de simplement faire danser son auditoire.
«J’aime comparer ma musique à la version par Starz on 54 de la pièce If You Could Read My Mind de Gordon Lightfoot qui a été enregistrée pour la trame sonore du film Studio 54, explique John O. Selon moi, c’est faux qu’il doive exister une dichotomie entre le concept de musique populaire et celui d’honnêteté lyrique.»
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