INSCAPE, son dernier opus qui a vu le jour en 2018, c’est plus de 52 millions d’écoutes en continu à travers le monde, un disque d’or au Canada, où plus de 40 000 albums se sont vendus, #1 des ventes au Québecles deux premières semaines de sa sortie, gagnant de l’album de l’année au Independent Music Awards etnommé sur la longue liste du Prix de Musique Polaris 2019. Ses pièces ont joué dans Sharp Objects et la table ronde de Big Little Lies Season 2 de HBO ainsi qu’au défilé d’Hugo Boss lors de la dernière édition de New York Fashion Week. Plus de 70 concerts sont inscrits au calendrier depuis le début de la campagne et tous les derniers spectacles au Québec ont affiché complet.
Billboard a décrit Stréliski comme l’une des plus importantes nouvelles vedettes du classique moderne etNoisey a déclaré que sa musique est un contraste de profondeur et de fragilité qui ressemble étrangement à la condition humaine elle-même.
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s’est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s’est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu’à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l’univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d’Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l’étiquette Secret City Records.Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur. Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d’un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues.L’expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle, mais s’encre également dans une recherche de sens pour l’artiste.
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s'est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s'est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu'à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l'univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d'Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l'étiquette Secret City Records.
Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur.
Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d'un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues. L'expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle mais s'encre également dans une recherche de sens pour l'artiste.
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s'est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s'est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu'à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l'univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d'Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l'étiquette Secret City Records.
Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur.
Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d'un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues. L'expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle mais s'encre également dans une recherche de sens pour l'artiste.
février
2
février
2
Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Théâtre du Marais (Supplémentaire)
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s'est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s'est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu'à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l'univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d'Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l'étiquette Secret City Records.
Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur.
Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d'un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues. L'expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle mais s'encre également dans une recherche de sens pour l'artiste.
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s'est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s'est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu'à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l'univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d'Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l'étiquette Secret City Records.
Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur.
Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d'un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues. L'expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle mais s'encre également dans une recherche de sens pour l'artiste.
lexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s'est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s'est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu'à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l'univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d'Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l'étiquette Secret City Records.
Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur.
Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d'un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues. L'expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle mais s'encre également dans une recherche de sens pour l'artiste.
février
13
février
13
Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Théâtre Maisonneuve (Supplémentaire)
Alexandra Stréliski n’a rien d’une pianiste conventionnelle. Issue d’un cadre classique, mais dotée d’un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer émotionnellement, emplissant l’esprit de riches images cinématographiques. Entendue pour la première fois sur l’album Pianoscope, sorti en 2010, elle a été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée, ainsi qu’à la cérémonie des Oscars en 2014. Artiste d’origine juive polonaise ayant grandi entre Paris et Montréal, Alexandra Stréliski s’imprègne, dès son enfance, d’une culture musicale déclinée sur deux continents
Alexandra Stréliski n’a rien d’une pianiste conventionnelle. Issue d’un cadre classique, mais dotée d’un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer émotionnellement, emplissant l’esprit de riches images cinématographiques. Entendue pour la première fois sur l’album Pianoscope, sorti en 2010, elle a été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée, ainsi qu’à la cérémonie des Oscars en 2014. Artiste d’origine juive polonaise ayant grandi entre Paris et Montréal, Alexandra Stréliski s’imprègne, dès son enfance, d’une culture musicale déclinée sur deux continents
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
février
21
février
21
Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Scène Desjardins de la salle Montignac
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
février
26
février
26
Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Centre culturel de l’Université de Sherbrooke
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Alexandra Stréliski est une pianiste néo - classique et une compositrice montréalaise qui s’est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s’est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu’à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l’univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d’Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l’étiquette Secret City Records.Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur. Le spectacle est construit comme une œuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d’un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues. L’expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle mais s’encre également dans une recherche de sens pour l’artiste.
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s’est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s’est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu’à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l’univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d’Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l’étiquette Secret City Records.Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur. Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d’un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues.L’expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle, mais s’encre également dans une recherche de sens pour l’artiste.
mars
1
mars
1
Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Le Zénith Promutuel Assurances
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
mars
6
mars
6
Alexandra Stréliski
Alexandra Stréliski @ Salle Desjardins Maria-Chapdelaine
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski n'a rien d'une pianiste conventionnelle. Issue d'un cadre classique, mais dotée d'un esprit libre, elle crée une musique qui fait vibrer l'auditeur émotionnellement, emplissant l'esprit de riches images cinématographiques.Entendue pour la première fois sur le disque Pianoscope, sorti en 2010, elle a d'ailleurs été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l'acclamée série du réalisateur québécois, Big Little Lies (2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète a sorti son deuxième album, INSCAPE, sur Secret City Records en octobre 2018. Le terme anglophone « inscape » est un concept réunissant « interior » et « landscape », qu'on pourrait traduire en français par « paysage intérieur ». Une notion philosophique autant associéeaux arts visuels qu'à la psychanalyse et qui devient merveilleusement musicale au contact de Stréliski.« Pour moi », poursuit Stréliski, « l'inscape a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j'ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. Je me suis retrouvée dans un espace empli de zones de gris duquel je ne savais plus revenir. Ce fut un moment pivot crucial pour moi. Une année d'évolution créatrice à travers laquelle j'ai reconnecté avec ma nature profonde, mon essence, mon X. »Inscape se dévoile comme l'oeuvre d'une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s'inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s'engage à ramener l'auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c'est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Alexandra Stréliski est une pianiste néo-classique et une compositrice montréalaise qui s’est fait connaître grâce à un premier album, Pianoscope, qualifié de sensible, mélancolique et lumineux par Telegraph UK. De cet opus, la pièce Prélude s’est retrouvée dans le film Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée, ainsi qu’à la cérémonie des Oscars en 2014. Sur scène, sa musique nous transporte dans l’univers du rêve et du cinéma, évoquant au passage le minimalisme d’Éric Satie, de Philip Glass et de Michael Nyman. En octobre 2018, elle lance un 2e album de piano solo fort attendu, sous l’étiquette Secret City Records.Les spectateurs sont invités à voyager à travers les souvenirs et les émotions très personnelles de la pianiste, mais également enrobés dans un univers qui, nous le souhaitons, les mèneront aussi à voyager dans les leurs. Mis en scène par Gregory Arsenal et Philip Rosenberg (Cirque Leroux), le concert reflètera une atmosphère à la fois intime et grandiose qui appelle au voyage intérieur. Le spectacle est construit comme une oeuvre cinématographique mouvante dont le fil conducteur rappelle les différentes étapes d’un bouleversement de vie. La scène, elle, est conçue comme un espace réfléchissant dont les frontières avec le public sont floues.L’expérience du concert INSCAPE se veut intime, poétique et visuelle, mais s’encre également dans une recherche de sens pour l’artiste.
Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski crée une musique qui fait vibrer l’auditeur émotionnellement, emplissant l’esprit de riches images cinématographiques.
Stréliski a fait ses débuts avec le disque Pianoscope (2010), mais a été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de Jean-Marc Vallée, via la bande-annonce de l’acclamée série Big Little Lies (HBO, 2017) et durant la cérémonie des Oscars.
INSCAPE, son dernier opus qui a vu le jour en 2018, c’est plus de 52 millions d’écoutes en continu à travers le monde, un disque d’or au Canada, où plus de 40 000 albums se sont vendus, #1 des ventes au Québecles deux premières semaines de sa sortie, gagnant de l’album de l’année au Independent Music Awards etnommé sur la longue liste du Prix de Musique Polaris 2019. Ses pièces ont joué dans Sharp Objects et la table ronde de Big Little Lies Season 2 de HBO ainsi qu’au défilé d’Hugo Boss lors de la dernière édition de New York Fashion Week. Plus de 70 concerts sont inscrits au calendrier depuis le début de la campagne et tous les derniers spectacles au Québec ont affiché complet.
Billboard a décrit Stréliski comme l’une des plus importantes nouvelles vedettes du classique moderne etNoisey a déclaré que sa musique est un contraste de profondeur et de fragilité qui ressemble étrangement à la condition humaine elle-même.
« Pour moi », confie Stréliski, « l’inscape [un concept réunissant “interior” et “landscape”, qu’on pourrait traduire en français par “paysage intérieur”] a été une crise existentielle. Une année où tout a chaviré et où j’ai eu à traverser divers paysages intérieurs, mouvementés, beaux et souffrants à la fois. » En cherchant à combler un certain vide émotionnel, elle a suivi une pulsion créatrice qui s’engage à ramener l’auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c’est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
INSCAPE se dévoile comme l’œuvre d’une artiste qui se joue bien des conventions et qui cherche à combler un certain vide émotionnel pour s’inscrire dans une tendance néo-classique résolument actuelle. Une pulsion créatrice qui s’engage à ramener l’auditeur vers une sincérité égarée : « Un piano, seul, c’est très vulnérable et je cherche à partager ce moment avec un auditeur »
Artiste ayant grandi entre Paris et Montréal, Stréliski s’imprègne dès sa tendre enfance d’une culture musicale déclinée sur deux continents. Très jeune elle s’intéresse autant à des artistes classiques tels que Chopin et Satie qu’à des compositeurs de musique de film comme Zimmer, Glass et Nyman. Repêchée par le milieu publicitaire à l’aube du millénaire, la musicienne remporte plusieurs honneurs grâce à ses créations dans ce domaine : CRÉA de la meilleure campagne au Québec en 2007; prix de la meilleure musique publicitaire pancanadienne aux Marketing Awards de Toronto. Néanmoins, l’appel à la création libre se fait sentir de façon toujours plus imposante, ce qui mènera au plus personnel Pianoscope.
Stréliski décrit le premier extrait d’INSCAPE,Plus tôt, comme « une pièce qui évoque l’espace-temps où nous nous trouvons avant que les choses nous arrivent. Le calme que l’on ressent lorsqu’on ne sait pas que certains événements s’apprêtent à nous changer. C’est le début du voyage. C’est le début de l’INSCAPE. »
Attention
Les précommandes peuvent seulement être effectuées séparément des autres achats. Votre panier va être vidé pour pouvoir effectuer la précommande. Souhaitez-vous continuer ?
Attention
Il y a présentement une précommande dans votre panier. Les précommandes ne pouvant être effectuée que séparément des autres achats, vous devez annuler votre précommande afin de pouvoir ajouter de nouveaux produits dans votre panier.
Attention
Ce produit est épuisé. Nous nous excusons pour le désagrément occasionné.